Littérature

Pour tout projet, il est impératif de rentrer en contact avec l’éditeur du titre ou de l’extrait concerné. Vous pouvez également nous envoyer un courrier.

En général, la Cohérie est très ouverte aux adaptations et utilisations de l’œuvre sous toutes ses formes, elle accompagne autant que possible les projets en partenariat avec les éditeurs.

Chanson

Mettre des textes de Boris Vian en musique est toujours possible soit parce qu'il s'agit d'un texte déposé à la SACEM ou publié et qui n'a pas encore reçu de musique soit parce qu'il a été déjà mis en musique mais après la mort de l'auteur.

Une grande partie de l’œuvre de Boris Vian est déposée à la SACEM, certaines chansons ont fait l’objet d’un contrat avec des éditeurs musicaux, qui sont tenus d’en publier les partitions.

Les chansons éditées du vivant de Boris Vian se nomment « Œuvres de collaboration » entre l’auteur et le compositeur, et il est impossible de composer de nouvelles musiques sur les textes.

Les chansons mises en musique après la disparition de Boris Vian sont des « Œuvres composites », pour lesquelles il est possible de composer de nouvelles musiques sauf quelques unes en raison de la notoriété du compositeur (Serge Reggiani, Serge Gainsbourg, Mouloudji...).

Pour tout projet de mise en musique, nous demandons une maquette audio avant de donner un accord non exclusif, puis chaque nouvelle mise en musique doit faire l’objet d’un bulletin de déclaration à la SACEM.

SACEM

Théâtre

Vous pouvez nous faire parvenir directement vos projets ou passer par la SACD, à laquelle la Cohérie est affiliée, à l'exception de Les Bâtisseurs d'Empire, Mademoiselle Julie, Erik XIV, qui sont gérés par les éditions de L'Arche.

En cas d'adaptation du texte original, nous souhaitons prendre connaissance autant que possible des modifications apportées, et pouvoir en discuter avec l'adaptateur et/ou le metteur en scène.

SACD

L'Arche

Audiovisuel

Pour tout projet d’adaptation portant sur un scénario, une nouvelle ou un roman, nous souhaitons recevoir d’abord une note d’intention avant de délivrer un accord de principe.

Dans un second temps, lorsqu’une production est engagée dans le projet, un contrat d’option peut être établi entre les ayants-droit, les demandeurs et l’éditeur, s’il y a lieu.