"La machine à confesser", vous la connaissez ?

Réalisé à l’eau-forte en 1957, le dessin original de La Machine à confesser annonce une société se rapprochant de celle que Boris Vian va dépeindre dans sa pièce Les Bâtisseurs d’empire, écrite la même année et qui lui a été inspirée par une nouvelle de Franz Kafka, La Colonie pénitentiaire, écrite en 1914. 

Le dessin original, accroché aujourd’hui encore dans son bureau, est réalisé sur un support en bois peint en blanc. Ce dessin préparatoire d’une machine fantasmée et jamais réalisée véhicule le propos même de Grammaj et illustre parfaitement le lien qui existe entre le dessin d’art et le dessin technique.

Pour en savoir plus sur cette lithographie tirée à 50 exemplaires numérotés et signés par la Cohérie Boris Vian, c'est par ici

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